La vie de dingue d'une journaliste beauté...
Dur, le journalisme beauté. Terrible. Quasiment du reportage de guerre. Toute la vérité est ici, exposée, toute crue : baignade, bronzage, fête jusqu'au bout de la nuit... Pas de répit.
Un récit qui fait frémir.
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Mise à jour début septembre
C'est bien involontairement que cette note, qui était un simple clin d'oeil avant l'été, a suscité le débat que vous pouvez lire dans les commentaires ci-dessous ! Ce n'était pas intentionnel de ma part, et j'espère que lajournaliste ne le prendra pas personnellement, et ce n'est pas sa note ou son approche qui sont directement mis en cause dans la discussion, je pense, mais certains aspects du travail journalistique en général. J'avais d'ailleurs abordé le sujet de l'impartialité et de la partialité des blogs et des magazines féminins dans d'anciennes notes.
De mon point de vue, il est normal que les marques entretiennent de bonnes relations avec les journalistes, leur offrent leurs nouveautés afin qu'elles (ce sont souvent des femmes) les essaient et en parlent en connaissance de cause, et éventuellement théâtralisent la manière dont elles présentent ces nouveautés (soirées, voyages...) si cela peut enrichir la manière dont elles vont faire partager l'info à leurs lecteurs. Il est plus délicat de justifier la corrélation, évidente, entre la publicité achetée dans un magazine par une marque et la pression exercée sur les journalistes pour qu'ils citent davantage les produits de la marque. En même temps, on parle d'un sujet relativement frivole, dans des magazines de divertissement : est-ce si grave ? Il s'agit ensuite pour le journaliste de savoir placer la limite entre les contingences du métier et sa propre éthique.